Le Musée d’Histoire de la Sarre présente à partir du 18 mai 2024 au sein de son bâtiment situé sur la place du château de Sarrebruck l’exposition « ILLEGAL. Street Art Graffiti 1960 – 1995 ». Des œuvres révolutionnaires des débuts de l’histoire américaine et européenne du street art et du graffiti y sont présentées. La priorité est donnée aux premières œuvres illégales. Avec son approche historique et sa présentation immersive et visuelle, l’exposition du Musée d’Histoire de la Sarre est la première de ce type au monde.
Sont exposées des œuvres clés et des raretés jamais montrées qui ont été créées illégalement, c’est-à-dire sans l’autorisation d’autrui et sans intention commerciale, pour un public dans la rue. La sélection de 120 artistes originaires d’une douzaine de pays est le résultat d’une recherche longue et laborieuse. Leurs œuvres n’ont jamais été destinées à un musée et ne sont donc pas conservées dans leur version originale, à quelques exceptions près. Le Musée d’Histoire de la Sarre a néanmoins réussi à dénicher des originaux et à les faire venir à Sarrebruck. Le prêt le plus éloigné vient de Californie.
L’exposition débute avec les travaux révolutionnaires de Brassaï, un photographe respecté et compagnon de route de Picasso. Brassaï a été l’un des premiers artistes à ne pas considérer le graffiti comme une simple forme spontanée d’art urbain. Il l’a reconnu comme une forme d’expression artistique significative qui méritait d’être documentée et présentée dans les galeries d’art. Ses photographies de graffiti, exposées pour la première fois en 1960 à Stuttgart, marquent un tournant essentiel dans la perception et la reconnaissance de cette forme artistique. L’exposition se termine en 1995, année où les premières œuvres de Banksy apparaissent en Angleterre.
L’exposition met l’accent sur certains lieux et régions géographiques qui ont joué un rôle décisif dans le développement de la scène du street art et du graffiti. L’un de ces lieux est l’étroite rue Visconti à Paris, qui devient entre 1962 et 1986 un point névralgique accueillant de nombreuses œuvres d’art non autorisées. Des artistes renommés tels que Christo, Daniel Buren et Zlotykamien y laissent leur empreinte et jouent un rôle déterminant dans le développement de ce mouvement artistique. Un accent particulier est mis sur le triangle urbain Paris-Düsseldorf-Zurich. C’est ici, et non dans des métropoles telles que Berlin, Rome ou Madrid, que se sont produits des développements essentiels pour l’histoire du street art et du graffiti en Europe. La Grande Région est également évoquée grâce à l'intégration de prêts originaux internationaux, mais aussi d’acteurs régionaux.
L’exposition met en lumière les liens étroits entre le graffiti et d’autres formes d’expression artistique, comme l’avant-gardisme ou la littérature, mais aussi et surtout la musique pop. De nombreux graffeurs et graffeuses n’étaient pas seulement créatif.ve.s sur le plan visuel, mais également actif.ve.s sur le plan musical ou créaient des pochettes de disques pour certains groupes. Cette interaction entre l’art visuel et la musique est particulièrement mise en lumière (rendue audible) dans l’exposition et illustre la complexité et la dynamique de cette époque.
Plutôt que d’être exposées de manière morcelée, les œuvres sont pour la plupart reproduites en grand format, voire en taille réelle. La présentation visuelle et sonore devient ainsi une expérience immersive. Les visiteur.se.s peuvent se mettre en scène au cœur de l’histoire du street art et même se prendre en photo. Le vaste programme encadrant l’exposition comprend différentes manifestations, notamment un festival de graffiti et de street art, des documentaires relatant des épisodes de ces courants artistiques, des conférences ainsi que des ateliers avec des artistes locaux.
Le commissaire de l’exposition, le Dr Ulrich Blanché, est un spécialiste connu et très demandé sur le sujet. Il mène des recherches sur le street art depuis 17 ans, est Privatdozent à l’université de Heidelberg et donne régulièrement des interviews aux médias internationaux. Le projet est réalisé par le Musée d’Histoire de la Sarre.
Un livre richement illustré accompagnant l’exposition est paru aux célèbres éditions Hirmer. Sans que cela soit une fin en soi ou un objectif déclaré préalablement, l'exposition et le catalogue écrivent une histoire du street art et du graffiti plus internationale et plus féminine. De nombreux nouveaux résultats de recherche et perspectives contribuent à la qualité de l’exposition.
Henry Flynt
Futura 2000/ Leonard McGurr
Godlis
Guerrilla Girls
Raymond Hains
Richard Hambleton
Keith Haring
Jenny Holzer
Iz The Wiz/Michael Martin
Thunar Jentsch
Ted Joans [et al.]
Joe 136
Joe 182
Junior 161
Katrin Kaluza
Kel/Randy Rodriguez
King Pin/ Christian Wolf
Manfred Manny Kirchheimer
KONK
Marcus Krips
Jean-noël Lafargue
Lee 163rd
Lee/Quiñones
Eichi Machimoto
Christoph Maisenbacher
[Edmond] Marie Rouffet
Aroldo Marinai
Franco Marinai
MashUp
Gordon Matta-Clark
Jérôme Mesnager
Michelle 62
Mick(ey) La Rock/Aileen Middel
Miss.Tic/Radhia Novat
Mode 2/ Maxime Nicoll
Mudmen
Andrea Nelli
OBEY /Shepard Fairey
Oliver
OZ/Walter Fischer
Paella [Chimicos]/Michel Palacios
Patti Smith Group
Phase 2 / Michael Marrow
Ernest Pignon-Ernest
(Lady) Pink /Sandra Fabara
Zygmunt Piotrowski
P-jay
Jill Posener
Pride/ Errol Donald
Quik/ Lin Felton
Klaus Raasch
Reso/Patrick Jungfleisch
Christy Rupp
SAMO© [Jean-Michel Basquiat/Albert Diaz]
Jo Schnapp
Ulrike Schermuly
Seen/Richard Mirando
Shoe/Niels Meulman
Shunk-Kender
Situationisten
Skeme/ John Cecil Dash
Soner/David Henrion
Spaze/Chaker Abdallah
Klaus Staeck
Johannes Stahl
StayHigh 149 / Wayne Roberts
Zéb/JAK/Yvain von Stebut
Taki 183
Jerzy Treliński
Timm Ulrichs
Alex Vallauri
Vampirella /Valesca M
Vandal/Barrett Zinn Gross
Gee Vaucher
Jacques de la Villeglé
Uwe Wandrey
Matt Weber
Klaus Wittmann
Dan Witz
David Wojnarowicz
Gerard Zlotykamien
Züricher Sprayer/Harald Naegeli
Parrainer
Partenaire de coopération
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Keine Erfindung hat unser Leben so nachhaltig verändert und geprägt wie das Automobil. Während der Besitz eines Autos lange Zeit als Symbol für Wohlstand und sozialen Fortschritt galt, steht es heute häufig für Krisen und Umweltprobleme. So erzählt die Ausstellung von Emotionen und Faszination, von Freiheit, Macht und Status, von Wohlstand und Massenmotorisierung ebenso wie von Krisen und Widersprüchen, von nationalen Befindlichkeiten und globalen Ansprüchen.
Das Historische Museum Saar hat mit Förderung Dritter die Grundlagen geschaffen, um künftig digital geschaffene Erfahrungsräume in Form eines „immersiven Museums“ in seiner Ausstellungshalle umzusetzen. Die Besucher*innen können sich durch eigens komponierte Bild- und Tonwelten bewegen und auf einzigartige Weise in Geschichte und Geschichten eintauchen.
Die Präsentation „GESTERN. HEUTE. MORGEN?“ zeigt serielle Arbeiten von 13 Photographinnen und Photographen aus dem Saarland, aus Lothringen, Rheinland-Pfalz und Nordrhein-Westfalen aus der Sammlung von PixxelCult e.V..
Seit der Gründung des Museums 1986 ist das Historische Museum Saar durch Erweiterungen immer weiter auf eine Fläche von 2700 m² gewachsen. Nicht nur die Fläche, auch die Besucher*innenzahlen sind gewachsen – zum Ankommen und zur Begrüßung des Publikums stehen momentan jedoch nur 45 m² zur Verfügung.
Der Landtag des Saarlandes und das Historische Museum Saar zeigen die Präsentation „SEIJI KIMOTO – Macht und Ohnmacht“ vom 24. Januar bis 07. März 2023 im Landtagsgebäude in Saarbrücken.
Das Historische Museum Saar wird ab dem 24. September 2022 in Zusammenarbeit mit dem Service de Conservation du Parc naturel régional des Vosges du Nord eine dreisprachige Sonderpräsentation mit dem Titel „Rendez-vous mit den Nordvogesen. Geschichten und Objekte aus 10 Museen“ zeigen.
Im Jahr 2021 feierte die traditionsreiche Saarbrücker Casino-Gesellschaft ihren 225 Geburtstag. Mit einer Sonderpräsentation vom 01. Februar bis zum 29. Mai 2022 erinnerte das Historische Museum Saar an ihre wechselvolle Geschichte.
Die Ausstellung präsentierte erstmals seit 76 Jahren die Werke des Saarbrücker Rathauszyklus Anton von Werners. Sie setzte sich am Beispiel der Historienmalerei zum Deutsch-Französischen Krieg 1870/71 kritisch mit der Inszenierung und Instrumentalisierung von Krieg und Nation auseinander. Dabei arbeiteten wir mit fast 20 deutschen und französischen Partnern und Leihgebern zusammen. Eine große Vielfalt an Quellen und Medien wurde dabei einbezogen, unter anderem Druckgrafiken, Depeschen und Zeitungsberichte, Memoiren, Feldpostbriefe und auch das moderne Massenmedium des Kriegspanoramas als Vorläufer des Kinos sowie die noch junge Fotografie.
Die Zwanziger Jahre verbindet man mit Bubikopf, Charleston und Art déco. Mit dem Inkrafttreten des Versailler Vertrages im Januar 1920 schlug aber auch die Geburtsstunde des Saarlands. Die Ausstellung „Die 20er Jahre“ beleuchtet die Anfangsjahre des Saarlandes und erweitert den Blick bis zum Anschluss des Saargebietes an das Deutsche Reich. Neben der gut erforschten politischen Geschichte rund um die Besatzungszeit, die französische Grubenverwaltung und den Abstimmungskampf widmet sich ein großer Teil der Ausstellung erstmals dem alltäglichen Leben im Saargebiet.
Pop-Ikonen wie Madonna und Prince, Stars wie George Clooney und Angelina Jolie kennt heute jeder. Wird das in 100 Jahren auch noch so sein? Schnelllebigkeit und Vergänglichkeit sind Teil der Popkultur, ebenso wie die Unsterblichkeit, die einige durch sie erlangen.
Die Kulturlandschaft in Lothringen, Luxemburg und im Saarland zeichnet sich durch einen reichhaltigen Bestand von mehr als 200 Burgen, Festungen und Schlössern aus. Das Historische Museum Saar fasst erstmals mit seiner neuen Sonderausstellung „Steinerne Macht“ die Forschungen zu diesen Anlagen in der Großregion SaarLorLux zusammen.
Nur wenige Tage vor dem Start des neuen Star-Wars-Films Episode 8 und 40 Jahre nach der Premiere des allerersten Star-Wars-Films in den USA eröffnete das Historische Museum Saar unter dem Titel „Saar-Wars“ eine kleine, aber faszinierende Sonderpräsentation, die sich an die legendäre Filmreihe anlehnt.
Das Historische Museum Saar kooperiert mit dem PopRat Saarland im Rahmen des „Colors of Pop-Festivals“. Es ist das erste Festival, das die gesamte Bandbreite der Popkultur mit allen ihren Genres. Zum Festival gestaltet der Künstler O. W. Himmel jetzt im Auftrag von PopRat und Historischem Museum Saar einen ganzen Raum im Museum mit seiner Kunst rund um das Thema Vinylkultur.
Insgesamt wurden vom Museumsteam 113 prominente Personen ausgewählt. In der Sonderausstellung stehen inklusive der Kunstfiguren Max Palu und Heinz Becker 30 Persönlichkeiten in Einzelpräsentationen im Mittelpunkt. Zu sehen sind 120, überwiegend noch nie gezeigte, private Objekte von 36 Leihgebern.
„Ein Bild sagt mehr als tausend Worte.“ Eine Binsenweisheit, deren Richtigkeit das Historische Museum Saar mit der Ausstellung „Unterwegs im Auftrag des Stern. Arbeiten des Fotojournalisten Hans-Jürgen Burkard“ unter Beweis stellt.
Das Saarland ist das jüngste der alten Bundesländer. Es wurde geprägt durch seine außerordentlich bewegte Geschichte im Herzen Europas. Die Spuren seines europäischen Charakters lassen sich bis zu den staatlichen Anfängen des Landes vor knapp hundert Jahren zurückverfolgen.
Mit der Eingliederung des Saarlandes in die Bundesrepublik Ende der 1950er Jahre sah sich das nunmehr jüngste Bundesland vor große Herausforderungen gestellt. Vor allem galt es, möglichst rasch Anschluss an das im „Wirtschaftswunderland“ herrschende Fortschrittsniveau zu finden. Gerade für die Saarwirtschaft war dieser Anpassungsprozess ausgesprochen kompliziert. Sie kämpfte gegen eine übermächtige Konkurrenz, deren „neue“ Produkte heiß begehrt waren.
Vor dem Ersten Weltkrieg, im wilhelminischen Kaiserreich, war das Leben der Menschen geprägt durch das extreme Spannungsverhältnis zwischen rasanten technischen und wissenschaftlichen Veränderungen auf der einen und einer extrem konservativen Gesellschaftsordnung auf der anderen Seite.
Für zusätzlichen Zündstoff sorgten politische Krisen z. B. auf dem Balkan und in Russland, Konflikte in den Kolonien und Probleme innerhalb der Gesellschaft wie der ausgeprägte Militarismus, Zensur und Bevormundung oder die ungelöste soziale Frage.
Bergleute, Hüttenmänner, Schmiede, aber auch Bauern, Bauarbeiter und Fischer bevölkern das Historische Museum Saar. Als Plastiken oder Skulpturen sind sie vielfältige Beispiele künstlerischer Darstellungen von Arbeit.
Archive sind die Black Boxes der Informationsgesellschaft. Fast jeder weiß, dass dort wichtige Fakten über die Vergangenheit gespeichert werden, fast niemand weiß, wie es darin aussieht. Und kaum jemand ahnt, wie groß die Bedeutung von Archiven für das kulturelle Gedächtnis einer Gesellschaft wirklich ist.
Unter dem Titel „Komisches Volk! - Drôle de peuple!“ zeigt das Historische Museum Saar eine hochkarätige Ausstellung mit Arbeiten des französischen Starkarikaturisten PLANTU, die einerseits Deutschland aus französischer Sicht kritisch unter die Lupe nehmen, andererseits aber auch die deutsch-französischen Beziehungen während der letzten Jahrzehnte spiegeln.
Der Saarbrücker Ferdi Hartung (geb. 1931) ist einer der ganz Großen der deutschen Sportfotografie. Über viele Jahrzehnte hielt er mit seiner Kamera die entscheidenden Momente des Sportgeschehens fest. Besonders seine Aufnahmen aus der Anfangszeit der Fußball-Bundesliga sind legendär.
Die Sonderausstellung zeichnet mit einem breiten Spektrum an Exponaten die Geschichte der Rockmusik im Saarland von den Anfängen bis in die Gegenwart nach. Seit den frühen 1960er Jahren prägte die im anglo-amerikanischen Raum entstandene, sich rasch weltweit bis in die letzten Winkel der Provinz ausbreitende Rockmusik zunehmend das Lebensgefühl der Jugend. Es entwickelten sich von ortsansässigen Bands getragene, regionale Rockszenen, die, wie im Saarland, durchaus quirlig und facettenreich sein konnten.
Im Historischen Museum Saar kann man eine faszinierende Reise durch die Geschichte der Mode antreten und diese in all Ihrer Vielfalt und Sinnlichkeit erleben. Die präsentierten Schätze, originale Damenkleider, Mieder, Dessous, stammen aus dem einzigartigen Bestand des Münchner Modemuseums, das über eine der bedeutendsten Sammlungen Europas verfügt.
Fast jeder hat sie zuhause, Alben mit eingeklebten oder eingesteckten Bildern oder den berühmten Schuhkarton, vollgestopft mit Fotos: Erinnerungen an die Kindheit, an Ferien oder besondere Festtage, Porträts von nahen oder entfernten Verwandten, manchmal auch Bilder aus dem Alltag und von der Arbeit.
Prof. Gottfried Böhm beging im Januar seinen 90. Geburtstag. Seit 20 Jahren ist das sanierte Schloss mit dem Mittelbau von Gottfried Böhm wieder die Stadtkrone Saarbrückens. Dies nimmt der Deutsche Werkbund Saar gemeinsam mit dem Regionalverband Saarbrücken und der Aufbaugesellschaft Saarbrücker Schloss zum Anlass, in Kooperation mit dem Deutschen Architekturmuseum Frankfurt und dem Historischen Museum Saar eine Ausstellung mit den saarländischen Bauten und Projekten Gottfried Böhms zu zeigen.
Styropor, Bakelit, Nylon, Perlon Celluloid usw...
Seit mehr als 140 Jahren verändern künstlich hergestellte Werkstoffe die Welt und das Verhalten der Menschen. Im 20. Jahrhundert gelang ihr großer Durchbruch und es gibt kaum eine Lebenssituation, in der wir nicht von Gegenständen aus Kunststoff umgeben sind.
Zum 50. Geburtstag des Saarländischen Rundfunks präsentiert das Historische Museum Saar in Kooperation mit dem SR eine Sonderausstellung, die am Beispiel der Geschichte des Senders mit zahlreichen Film- und Tondokumenten und in szenischen Bildern aufzeigt, wie Radio und Fernsehen über die Jahrzehnte unseren Alltag verändert haben.